Alors qu’une délégation du conseil de sécurité séjourne depuis jeudi en République Démocratique du Congo depuis jeudi 10 mars 2023 dernier, la solution sur l’agression rwandaise est loin d’être trouvée.
Les propos tenus samedi par le français Nicolas de Rivière qui fait partie de cette délégation font confusion. Que de condamner l’agression rwandaise, ce dernier a tiré sur les autorités congolaises en les plaçant en premier devant leurs responsabilités.
Selon lui, « Les Nations-Unies ne peuvent pas tout faire. Elles ne sont pas en charge de tout. Les autorités de la RDC sont également en charge. Les FARDC sont chez elles aussi. Donc c’est une responsabilité qui leur incombe».
A l’en croire, seul les congolais doivent régler leurs différends.
« N’attendez pas des Nations-Unies qu’elles règlent des choses de manière magique et de manière instantanée à la place des autorités congolaises. Ce ne sont pas les Nations-Unies qui vont régler toutes seules les problèmes» a-t-il affirmé.
Ces propos corroborent avec ce qui étaient tenu par le président français Emmanuel Macron au cours d’une conférence de presse marathon avec le président Tshisekedi lors de sa visite à Kinshasa.
Pour le moment, plusieurs observateurs s’interrogent pourquoi les autorités françaises se mettent seulement à responsabiliser les autorités qui bien-sûr ne sont pas couverts de toute tâche, face à l’agression rwandaise ? l’ONU serait-elle en train de lâcher la RDC et légitimer l’agression rwandaise ?
En effet, l’on se rappellera que juste au début de cette agression, en difficulté de citer l’agresseur le secrétaire général de l’ONU avait indiqué sans citer le lieu où ces rebelles militairement armées que ceux des l’ONU, sortiraient de quelque part sans aucunement citer le Rwanda en préconisant le dialogue entre la RDC, le Rwanda et l’Ouganda pour mettre terme à cette situation. Une option que n’a pas aussi exclu cette délégation en instant que « l’ONU ne va qu’apporter une aide».
Azarias Mokonzi
Agression rwandaise : l’ONU lâche-t-elle la RDC au profit du Rwanda et ses supplétifs du M23?
Alors qu’une délégation du conseil de sécurité séjourne depuis jeudi en République Démocratique du Congo depuis jeudi 10 mars 2023 dernier, la solution sur l’agression rwandaise est loin d’être trouvée.
Les propos tenus samedi par le français Nicolas de Rivière qui fait partie de cette délégation font confusion. Que de condamner l’agression rwandaise, ce dernier a tiré sur les autorités congolaises en les plaçant en premier devant leurs responsabilités.
Selon lui, « Les Nations-Unies ne peuvent pas tout faire. Elles ne sont pas en charge de tout. Les autorités de la RDC sont également en charge. Les FARDC sont chez elles aussi. Donc c’est une responsabilité qui leur incombe».
A l’en croire, seul les congolais doivent régler leurs différends.
« N’attendez pas des Nations-Unies qu’elles règlent des choses de manière magique et de manière instantanée à la place des autorités congolaises. Ce ne sont pas les Nations-Unies qui vont régler toutes seules les problèmes» a-t-il affirmé.
Ces propos corroborent avec ce qui étaient tenu par le président français Emmanuel Macron au cours d’une conférence de presse marathon avec le président Tshisekedi lors de sa visite à Kinshasa.
Pour le moment, plusieurs observateurs s’interrogent pourquoi les autorités françaises se mettent seulement à responsabiliser les autorités qui bien-sûr ne sont pas couverts de toute tâche, face à l’agression rwandaise ? l’ONU serait-elle en train de lâcher la RDC et légitimer l’agression rwandaise ?
En effet, l’on se rappellera que juste au début de cette agression, en difficulté de citer l’agresseur le secrétaire général de l’ONU avait indiqué sans citer le lieu où ces rebelles militairement armées que ceux des l’ONU, sortiraient de quelque part sans aucunement citer le Rwanda en préconisant le dialogue entre la RDC, le Rwanda et l’Ouganda pour mettre terme à cette situation. Une option que n’a pas aussi exclu cette délégation en instant que « l’ONU ne va qu’apporter une aide».
Azarias Mokonzi
Hummm !