l’Union des Patriotes pour la Libération du Congo (UPLC) un groupe armé oeuvrant sur la route Beni-Butembo, rejette par la main de rêveur, les accusations portées contre-lui, après les massacres d’une centaine de civils dans cette partie située dans le territoire de Beni, Nord-Kivu.
Dans un communiqué signé par Kakule Mwangaza, chargé de la communication au sein de ce groupe armé, les situations macabres que l’on attribue à l’UPLC, est une œuvre des politiciens à la recherche de l’électorat qui cherchent à briser la collaboration entre ces miliciens et la population civile.
Une information corroborée dans une sortie médiatique du leader de ce mouvement, le général autoproclamé Mayani Kambale qui précise que ses hommes veuillent à la sécurité de la population civile et de ses biens.
« C’est une manipulation de la population qui cherchent l’électorat. Ils cherchent à nous opposer à la population, pour qu’ils aient le poids, parce que ils nous combattent ici. Si nous quittons cette région, la population va se vider de ce coin» a-t-il indiqué.
Sur les réseaux sociaux, certains internautes attribuent les différents massacres de la population civile à ces miliciens Maï-Maï qui contrôlent la majeure partie de cette région. La preuve selon ces derniers, est que les miliciens ont été appréhendés en train d’enlever une famille à Lisasa, une situation qui fait enregistrée des réactions.
Ainsi pour ce faire, « UPLC se réserve le droit de poursuivre en justice, toute personne qui sera tenue responsable de ternir son image.» et à cette occasion poursuit ce groupe armé dans ce communiqué ;
«Nous lançons une mise en garde sévère à ces ennemis de la paix qui intoxiquent la population par ce virus de désinformation et de haine que les enquêtes de poursuivent pour leur dénichement».
Notons ce groupe armé fugure parmi tant d’autres qui ont tendu la main du chef de l’état, pour le processus de paix.
La Rédaction